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Requête présentée à l'Intendant par la ville pour être maintenue dans la perception du droit de rouage. Cette requête est renvoyée à l'examen du subdélégué qui en conséquence des pouvoirs à lui donner rend une ordonnance en faveur de la ville. Sont jointes à ce dossier six amodiations de ce droit, faites de 1606 à 1702, plus une note sur la valeur ancienne des monnaies servant à apprécier la quotité du droit réclamé et un arrêt de 1717, confirmant la ville dans tous ses anciens droits et privilèges entr'autres dans celui de rouage.

FA 684 , 1775  

Mandement du Sr de Dissey capitaine de Dole, approuvé par le Sr de Vergy, gouverneur de la province, touchant le fait du guet et garde par les habitants, le contingent à fournir et la surveillance à garder en cette matière. (1551)Avec un recueil de pièces de cette époque concernant le même réglement du guet et garde, 2 mandements du gouverneur, des articles présentés par la ville, des instructions remises à ses commis chargés de voir le gouverneur et enfin un mandement de celui-ci réglant l'obéissance due au mayeur pour le guet et garde. (1551-1557)

FA 1061 , 1551-1557  

Pièces concernant la cense de 300 livres estevenantes dues par la ville au roi. Cette cense est celle dont il est question dans la charte de franchise d'Alix donnée en 1274 (voir cote 1). Du consentement de la princesse Marie de Bourgogne les habitants l'amortirent suivant deux actes de rachat à eux consentis le 1er le 28 avril 1477 par Hugues de Châlons prince d'Orange, mandataire de la princesse moyennant 3900 livres, le second passé en novembre 1477 entre les mêmes parties et par lequel 400 livres furent ajoutées de commun accord à la somme primitive de 3900 livres. Après la conquête de la Franche Comté par Louis XI et sa réunion à la France, la Chambre des finances de Bourgogne refusa de reconnaître ce rachat bien que la somme eût été versée comptant; mais les habitants ne purent alors reproduire leur titre. On voulu donc les obliger à continuer de payer la cense de 300 livres. Ils s'adressèrent à Charles VIII qui en 1483 consentit à la décharger du paiement de 300 livres pendant dix ans, remplaçant ce paiement par celui de 100 sols annuels. La Cour des comptes refusa d'enregistrer ces lettres, et le trésorier de Bourgogne au lieu de cesser ses poursuites fit enfermer aux prisons d'Auxonne (on avait pas encore relever celles de Dole) les plus notables parmi les pauvres habitants de Dole. Cependant en 1484, Charles accorda de nouvelles lettres. Enfin en 1491, les Dolois ayant pu se procurer un vidimus de l'acte de rachat, Charles le confirma. Mais la Chambre des comptes refusa encore de l'entériner et présenta des remontrances auxquelles Charles répondit en novembre 1492 par un ordre formel d'entériner. En 1494, la Franche Comté ayant été cédée à l'Autriche, il y eut de nouvelles difficultés, parce qu'on refusait de reconnaître les actes du roi de France. Cependant Maximilien et Philippe consentirent (en 1494 le 1er nov.) à reconnaître ce rachat, mais seulement jusqu'à concurrence de 215 livres, de sorte que les Dolois demeurèrent encore tenus à une cense de 85 livres qu'ils reconnurent et acceptèrent solennellement en 1495. En 1508, le trésorier de Bourgogne voulut encore les inquiéter. Marguerite en écrivit elle même à Maximilien qui sur sa prière donna 2 mandements pour qu'on cessât de les tourmenter. En 1509, il fallut obtenir de nouvelles lettres patentes confirmatives de l'acte de 1494, ceux de la Chambre des Comptes s'obstinaient à exiger du trésorier les 300 livres et ne voulaient accepter les 85 livres stipulées. Enfin un arrêt du Parlement de 1512 déclara qu'il serait sursis jusqu'à nouvel ordre au paiement des 300 livres. On voit cependant par une apostille d'un compte de 1539, que cette somme continuait à être réclamée du trésorier de Bourgogne.Toutes les pièces d'après lesquelles cette note a été rédigée se trouvent au dossier. Il y aen outre plusieurs lettres, notes et écritures relatives à cette affaire. Elles sont toutes décrites en détail sur les chemises qui les renferment au nombre de 16. Presque toutes sont en bon état. Quelques sceaux sont frustes ou brisés. Les 3/4 des pièces sont en parchemin.

FA 900/1-2 , 1477-1512  

Pièces d'un grand procès de la ville contre les Sieurs Daumont amodiataires de la seigneurie du roi, au sujet de l'éminage et de la recette des amendes. Les Daumont prétendaient que l'éminage devait se payer aux foires franches comme aux autres jours de marché et que les amendes adjugées en la mairie devaient appartenir au roi. La ville défendît énergiquement ses privilèges. L'affaire fut portée devant le Conseil privé de Bruxelles où elle prit de grandes proportions, car les Daumont avaient étendu leurs prétentions à beaucoup de privilèges, de droits, d'octrois et dont jouissait la ville et pour lesquels ils voulaient l'obliger à justifier de la légitimité de sa possession. Deux arrêts provisionnels de 1619 et 1621 maintinrent la ville et l'affaire paraît en être restée là. Parmi les pièces de ce procès on en trouve d'assez instructives sur les droits ici contestés, ainsi que sur leur origine. Il y a divers mémoires de la ville, des enquêtes, des copies de titres etc. Le Procureur général de la Cour était intervenu en faveur des Daumont.

FA 920 , 1618-1621  

L droit de ban-vin consistait dans le droit exclusif au souverain ou à ses fermiers de donner permission de vendre et débiter du vin au détail pendant les 3 semaines qui précédaient la fête de Pâques. Seulement on pouvait continuer à débiter le vin du tonneau mis en perce avant l'ouverture des bans-vins. Les 3 pièces suivantes relatives à la perception de ce droit offrent peu d'intérêt.1° Griefs d'appel du procureur fiscal contre la ville au sujet des bans-vins (1575).2° Protocole et copie d'une sous amodiation des bans-vins faits à Aimé Guillemin par Jean Daumont fermier du roi, moyennant 60 fr. par an (1625).3° Pièces de 2 procès entre divers cabaretiers et aubergistes de Dole contre les fermiers des bans-vins; la ville intervenue (1626-1627).

FA 928 , 1575-1627  

Patri liberorum studiosissimo quaestio physiologica de irritabilitate has theses deo duce favente Virgine deiparâ ac praside nobili clarissimo consultissimoque domino D. Claudio-Francisco Atthalin D.M. in Universitate Bisuntinâ medica facultatis proffessore regio ac decano academia scientiarum bisuntina socio necnon in collegio medicorum nanceiensium aggregato tuebitur D. Josephus Lanaud Auxonnensis theseos auctor A.M. in publico illius academia auditorio die 18â mensis aprilis 1766 horâ undecimâ matutinâ ad baccalaureatus lauream in medicina consequendam ex mandato megnifici domini d. rectoris

18P/5022/18 , [1766] , 16 p., n-12, az  

Controversiae inter defensores libertatis et praedicatores gratiae, de auxiliis divinae gratiae tam excitantis quam adjuvantis, tam operantis quam cooperantis, tam sufficientis quam efficacis, et de extremis haereticorum erroribus circa eandem, A.R.P. magistro sapientissimo F. Joanne Gonzales de Leon, romani collegii S. Thomae aquinatis regente, anno 1635 et 1636 publicae catholicorum utilitati expositae in quibus nec unum exstat verbum quod non vel summorum pontificum et sacrorum conciliorum definitionibus, vel sanctorum patrum, praecipue Augustini, Prosperi, Fulgentii, Anselmi, Hilarii et divi Thomae autoritatibus fulciatur, roboretur, approbetur

18M/922 , 1708 , IV-420 p., in-4ÊÊ, az  

Dictionnaire chronologique et raisonné des découvertes , inventions , innovations , perfectionnemens , observations nouvelles et importations , en France , dans les sciences , la littérature , les arts , l'agriculture , le commerce et l'industrie , de 1789 à la fin de 1820 ; comprenant aussi , 1°. des aperçus historiques [...] ouvrage rédigé , D'après les notices des savans , des littérateurs , des artistes , des agronomes et des commerçans les plus distingués , par une société de gens de lettres

19M/962 , 1824 , 17 vol., 22 cm, az  

3° Carmélites.Deux pièces seulement; l'une étant la copie de la permission accordée aux Carmélites de s'établir à Dole, en 1623, l'autre la copie d'une fondation de messe en l'église de leur couvent. Il était situé rue Montroland, et appartient aujourd'hui à MM. Boilley. (1623-1631)Traité de réception de la Mère Arme de La Croix (25 avril 1692)Plus lettre patente qui confirment les religieuses dans la possession de 4 ?? après acquisition par contrat du 19 juin 1727.

FA 1442 , 1623-1692