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Documents provenant de l'appartement avenue Gabriel à Paris

Correspondance familiale de Louis Vallery-Radot (lettres reçues) Lettres de ses grands-mères, de son oncle et de sa tante (1891-1907)

Lettres de Mme Louis Pasteur (1893-1907)

• Mon cher petit Louis, je ne t'appelle pas Loulou parce que c'est bon pour un tout petit garçon. Toi qui vas en bicyclettes comme un homme...

• Ma Chère Camille et mon cher Loulou, Je vous remercie de vos deux lettres de dimanche pour lesquelles vous avez eu tant de peine à vous accorder.

• Vives félicitations

• Mon bon et cher Loulou, C'est à toi que j'adresse ma première lettre de Vichy en l'honneur de l'anniversaire de ta naissance.

• Mon cher petit Loulou, Je te remercie de m'avoir écrit. Tu me dis beaucoup de choses très intéressantes ; mais je voudrais en savoir encore beaucoup d'autres.

• Mon cher petit Louis, Si tu savais comme je suis contente de savoir que tu fais cet agréable voyage qui te laissera de si beaux souvenirs.

• Mon cher petit Louis Pasteur, Tu mérites de porter ce nom aujourd'hui. Je suis bien fier d'avoir un petit-fils qui est premier à Louis le Grand, dans ce grand lycée où l'un de tes grand pères a fait de très bonnes études.

• Mon cher petit Loulou, je devrais bien ne plus t'appeler ainsi, mais j'oublie toujours que tu es en train de devenir un jeune homme qui voyage pour s'instruire et qui nous rapportera bientôt une masse de connaissances...

• Mon cher Louis, Je te remercie de m'avoir consacré un de tes moments de vacances en m'écrivant hier,. Je voudrais pouvoir aller te retrouver avec Titis et Taju...

• Mon cher Louis, Comment te remercier du plaisir que j'éprouve à te féliciter aujourd'hui ? Je t'embrasse de tout mon coeur pour ton cher grand père ...

• Mon cher Louis, Je t'envoie la récolte exceptionnelle que ta tante et moi nous venons de faire dans le jardin de la cuisance.

• Mon cher Louis, je te remercie de la gâterie venant de Lormes. Nous nous régalons à qui mieux mieux, chacun notre boîte à la main. Mlle Louise elle-même a la sienne. Quelle prodigalité !

• Mon cher Louis, nous avons reçu ce matin, avec grand plaisir, ta petite lettre. Nous en attendons maintenant, une autre, un peu plus longue de Camille.

• Mon cher Loulou chéri, Je t'embrasse de tout mon coeur et je te remercie de ta lettre de fête. Je remercierai Camille ce soir de la sienne.

• Mon cher Louis, ma chère Camille, J'ai reçu votre dépêche hier dans la journée et hier soir votre mère me remettait de votre part les jolies choses que vous me destiniez pour ma fête qui s'est passée sans vous.

• Mon cher Louis, Tu viens de me faire passer une bonne nuit. Ton succès me fait le plus grand plaisir et je pense à celui qu'aurait eu ton cher grand père qui t'aimait si ardemment.

• Mon cher petit fils, quand donc aurons-nous le plaisir de nous voir ensemble, débarrassés de toute préoccupation d'examen et heureux de te voir enfin lancé dans la vie ?

• Mon cher Louis, Je suis un peu souffrante depuis mon arrivée ici. Le Dr Gauderon est venu me voir et m'a prescrit un régime qui paraît devoir me faire du bien.

• Mon cher Louis, Je te souhaite une bonne fête en t'embrassant de tout mon coeur. J'aurais voulu ajouter à mes souhaits quelque chose de plus palpable mais c'est aujourd'hui dimanche et la poste d'Arbois garde le repos hebdomadaire.

• Mon cher Louis, Je te remercie de tes voeux de fête et je te souhaite un bon temps de repos auprès de ton ami Chabrun à qui tu donneras mon souvenir.

• Mon cher Louis, Je te remercie de n'avoir pas oublié ta chère grand'mère que tu as soignée si bien tout le mois dernier.

• Mon cher Louis, ta soeur m'a remis après ton départ, le joli cadeau de très bon goût, que tu m'as rapporté comme souvenir de voyage.

• Mon cher Louis, J'ai reçu ta lettre, hier, au moment où je portais celle de Camille, pour Salins, à la poste. Je t'en remercie bien.

• Mon cher Louis, Enfin nous avons eu de toi, ce matin, une lettre plus réconfortante que toutes celles que tu as envoyées depuis huit jours rue Saint-Dominique.

• Je te souhaite une bonne fête, mon cher Louis, en attendant le plaisir de te voir bientôt.

• Mon cher Louis, je te remercie de ta lettre de Francfort où tu n'es déjà plus. Je suis très heureuse que ton voyage t'intéresse et que tu prennes un peu de repos en attendant une nouvelle année de travail sérieux.

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Lien permanent :

Lettres de Mme Louis Pasteur (1893-1907)

Identifiant :
1AP/54/2