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Documents provenant de l'appartement avenue Gabriel à Paris

Correspondance Edelfelt

Lettres d'Albert Edelfelt à René Vallery-Radot 1889-1905 et varia

• Mon cher ami, Tous nos meilleurs vœux de bonne année pour vous et les vôtres

• Mon cher ami, Vous n'êtes pas non plus, de ceux à qui on écrit en hâte, et je suis désolé de n'avoir ni le temps ni la liberté d'esprit nécessaires pour répondre à votre charmante lettre du 10 février d'une façon digne…

• Mon cher ami, Pour vous prouver que je ne suis ni mort ni enterré je vous envoie ces quelques lignes…

• Mon cher ami, Je suis, en effet, à Paris depuis dix jours, de retour de Montbéliard où j'ai été un peu souffrant, de sorte que je n'ai pas pu finir un portrait commencé…

• Mon cher ami, C'est de mon lit d'influenzé que je vous adresse mes meilleurs vœux pour l'année 1890…

• Mon cher ami, Je suis désolé de ne pouvoir aller ce matin chez vous comme je l'avais promis il y a quinze jours. Je n'ai pas encore terminé le portrait du monsieur de Montbéliard…

• Mon cher ami, J'avais caressé l'espoir d'être à Paris à peu près à cette époque-ci, et la pensée de pouvoir vous demander de vive voix de vos nouvelles…

• Mon cher ami, J'aurais voulu vous donner mon adresse dans le midi de la France -notre station principale avant le but final, Paris-…

• Mon cher ami, Si je voulais exprimer dignement tout le bien que je pense de votre lettre et de son auteur, je serais forcé de chanter vos louanges…

• Mon cher ami, Je suis heureux de pouvoir vous donner de bonnes nouvelles. Mon fils est en pleine convalescence…

• Mon cher ami, Vous allez me considérer comme le dernier des ingrats puisque je suis forcé de répondre à votre si aimable invitation par un froid et mélancolique non possumus...

• Mon cher ami, Je suis bien en retard avec vous et j'ai vraiment honte de ne vous avoir encore dit combien nous avons formé de vœux sincères pour vous tous…

• Mon cher ami, J'avais espéré être à Paris à cette époque, pour pouvoir remercier de vive voix M.Pasteur ainsi que vous de la gracieuse promesse de prêter le portrait…

• Mon bien cher ami, Vous savez, par ma lettre du mois d'octobre, combien j'ai été atterré par la terrible nouvelle de la mort de Monsieur Pasteur...

• Mon cher ami, Ma conscience me disait vaguement, quand j'ai accepté votre aimable invitation à dîner, que je n'étais pas libre aujourd'hui…

• Mon bien cher ami, J'ai reçu votre bonne et charmante lettre au lit, aux prises avec l'influenza qui ne nous a pas lâchés depuis le nouvel an…

• Mon bien cher ami, Le siècle finit dans quelques heures et je me dis, non sans tristesse, que mon plus beau temps est passé…

• Merci Madame, de votre très aimable invitation pour demain, à laquelle j'aurai l'honneur de me rendre après le jury…

• Mon bien cher ami, Ma lenteur à vous dire combien vos chaleureuses félicitations m'ont touché est bien peu en rapport avec la reconnaissance et la joie vives que j'ai ressenties en lisant votre admirable lettre…

• J'ai tant tardé à vous répondre, mon cher ami, parceque j'ai été un peu moins bien ces jours ci et je suis toujours au régime le plus sévère…

• Mon cher ami, j'ai tant tardé à vous écrire parceque j'ai attendu le moment de pouvoir vous signaler un mieux définitif dans l'état de santé de ma mère…

• Mon bien cher ami, Vous savez par Jean Baptiste et par la lettre de faire part le deuil cruel qui nous frappe…

• Mon bien cher ami, Avez-vous jamais reçu ma lettre écrite quelques jours après la mort de ma mère ? Je crains que non, car je l'ai envoyée sans timbre, selon la recommandation de Mlle Camille…

• Mon cher ami, Madame-- veut que j'assiste à la première, sa nouvelle création, ce soir…

• Vous vous rappelez bien, mon cher ami, que j'avais un mal de tête fou quand j'avais l'honneur de déjeuner chez vous l'autre jour…

• Mon cher ami, Je viens de recevoir une très aimable lettre de Mme Vallery-Radot par laquelle elle m'invite à dîner…

• Mon bien cher ami, Aux prises avec une troisième rechute d'influenza je vous écris de mon lit pour vous prier de nous servir d'interprète auprès de Madame Pasteur…

• Mon cher ami, Quand votre très aimable invitation, accompagnée de quelques lignes bien affectueuses est arrivée, j'étais justement en train de vous écrire…

• Merci mon cher ami -Je viendrai jeudi, si je ne suis pas tout à fait abruti d'ici là par mes angoisses et hésitations…

• Note sur le portrait par Edelfelt

• Portrait d'Albert Edelfelt

• Albert Edelfelt et René Vallery-Radot

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Lien permanent :

Lettres d'Albert Edelfelt à René Vallery-Radot 1889-1905 et varia

Identifiant :
1AP/17/1